(Leyde, 1626 - Leyde, 1679)
Le repos devant l'auberge
Vers 1660
Huile sur bois
H. 54,50 cm; l. 40,50 cm; E. 1 cm (sans cadre)
H. 79 cm; l. 65 cm; E. 10,50 cm (avec cadre)
Legs Antoine Valedau, 1836
inv. 836.4.55
Salle 5© Musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole - photographie Frédéric Jaulmes
Vers 1660
Huile sur bois
H. 54,50 cm; l. 40,50 cm; E. 1 cm (sans cadre)
H. 79 cm; l. 65 cm; E. 10,50 cm (avec cadre)
Legs Antoine Valedau, 1836
inv. 836.4.55
Salle 5Le prolifique Steen a peint une variante de ce Repos devant l’auberge qui appartient au National Trust (Banbury, Upton House), où une rose posée sur la table signale que nous assistons à une scène de séduction. Le contexte amoureux est moins flagrant dans le tableau de Montpellier mais les noix, dont certaines sont ouvertes, évoquent le vieux dicton hollandais : « Qui a une noix, doit la casser », signifiant ainsi que toute opportunité doit être saisie. Ici, le voyageur va probablement tenter de séduire la... servante qui lui tend un verre. Au demeurant, l’expression de celle-ci ne laisse pas deviner une inclination ou un désir éventuels pour son hôte. Le crépuscule, propice au rapprochement du couple, et le chien endormi présagent l’arrêt du voyageur pour la nuit.
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Expositions